Ingénieur de prévention - expert et référent rayonnements ionisants F/H

Administration centrale
Type de poste
Emploi public
Basé à
Paris
Rémunération envisagée
Selon profil
Télétravail
Possible
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Description des missions

Pour les postes ouverts uniquement aux contractuels : Art. L332-2 CDI
Temps plein : oui
Groupe RIFSEEP :
Télétravail possible : oui
Management : non
Rémunération pour les contractuels (en euros brut / an) :
Pour les postes ouverts aux fonctionnaires et contractuels :

Profil recherché

Pour les postes ouverts uniquement aux contractuels : Art. L332-2 CDITemps plein : ouiGroupe RIFSEEP : Télétravail possible : oui Management : nonRémunération pour les contractuels (en euros brut / an) :Pour les postes ouverts aux fonctionnaires et contractuels : Référent(e) technique, scientifique et réglementaire sur les rayonnements ionisants. Il/elle travaillera avec son binôme sur les rayonnements ionisants provenant des activités nucléaires (vétérinaires, personnels médicaux, travailleurs des installations nucléaires de base) et sera plus spécifiquement en charge des situations existantes (radon) ou d’urgence radiologique (crise). En fonction de ses compétences techniques/ appétences, il/elle contribuera également aux travaux du bureau sur les rayonnements non ionisants (ROA, CEM, UV...). Il/elle pourra compter pour le volet réglementaire sur l'appui des chargés de mission juridiques du bureau.E : Savoir agir dans un contexte complexe, faire preuve de créativité, trouver de nouvelles solutions, former d’autres agents, être référent dans le domaine.M : Mettre en œuvre la compétence de manière régulière, corriger et améliorer le processus, conseiller les autres agents, optimiser le résultat.A : Savoir effectuer, de manière occasionnelle ou régulière, correctement les activités, sous le contrôle d’un autre agent, savoir repérer les dysfonctionnements.N : Disposer de notions de base, de repères généraux sur l’activité ou le processus (vocabulaire de base, principales tâches, connaissance du processus, global…)La direction générale du travail (DGT) prépare, anime et coordonne la politique du travail afin d'améliorer les relations collectives et individuelles et les conditions du travail dans les entreprises ainsi que la qualité et l'effectivité du droit qui les régit. Elle assure le rôle d'autorité centrale du système d'inspection du travail.La sous-direction des conditions de travail est chargée : - d'élaborer, de mettre en œuvre et d'évaluer la politique d’amélioration des conditions de travail et de protection de la santé et de la sécurité au travail (SST) ; - de la conception et du pilotage des plans d’action gouvernementaux, notamment le plan santé au travail (PST) ; - d'assurer la tutelle et/ou le pilotage des agences et opérateurs intervenant dans le champ concerné ; - d'assurer la concertation avec les partenaires sociaux sur ces sujets, notamment dans le cadre du Conseil d'orientation des conditions de travail (COCT) ; - de suivre la négociation, la transposition, l'application des directives européennes intervenant dans le champ de la SST, et la définition de la stratégie européenne en la matière.La sous-direction est composée de trois bureaux et d'une mission rassemblant 58 agents de catégorie A en très grande majorité, aux profils variés: - bureau de la politique et des acteurs de la prévention (CT1) . - bureau des risques chimiques, physiques et biologiques (CT2) ; - bureau des lieux et équipements de travail (CT3) ; Il/elle assure : - l'élaboration de la réglementation (lois, décrets, arrêtés) en lien avec les groupes de travail d'experts qu'il anime, et le suivi de la procédure de consultation (commission spécialisée n°2 du Conseil d'orientation des conditions de travail) et de publication des textes ; - la construction d'outils d'accompagnement à destination des différents publics (employeurs, organisations professionnelles, associations, travailleurs), tels que les guides et les Q/R (questions / réponses) ; - le suivi et l'amélioration des dispositifs d'accréditation et de certification en lien avec les différents organismes ; - le renforcement des dispositifs de la radioprotection des travailleurs : SISERI, CAMARI, CRP, OVA... - la participation aux travaux européens (règlements, directives...) et internationaux (CIPR, OMS) ; - la préparation et le suivi pour le compte de la DGT des saisines des organismes d'expertise ou de recherche en radioprotection ; - la veille technique et scientifique (colloques, séminaires) ; - le suivi des travaux de normalisation technique (AFNOR, CEN, ISO) ; - la participation aux groupes de travail relatifs à la santé et la sécurité des travailleurs exposés mis en place par différents partenaires (ASNR, DGPR, DGS...) ; - l'intervention à des journées de formation, ou séminaires pour présenter la réglementation.Connaissances :- Rayonnements ionisants, radioprotection : E- Prévention des risques professionnels : M - Réglementation dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail : M- Environnement institutionnel administratif et partenarial A - Pratique de l'anglais : A - Dispositifs de normalisation, accréditation, certification : ASavoir-être :- Grandes qualités relationnelles, de négociation et facilités pour créer des réseaux ****- Adaptabilité et autonomie ****- Travail en équipe ****- Aptitude à assurer l'interface entre un domaine d'application technique et un questionnement socio-économique et juridique, à dimension politique ****Savoir-faire :- Capacité analytique d'un sujet technique RI - E - Capacité de synthèse et d'organisation M- Capacité rédactionnelle M- Capacité d'animation de groupe M- Proposer des solutions techniques sur la thématique E- Pédagogie et vulgarisation pour faciliter la compréhension de sujets techniques E- mission du pilotage de la politique et des opérateurs de la santé au travail (CT4).Le bureau CT2 élabore la politique relative à la prévention des risques chimiques dont l'amiante, des risques biologiques et des risques physiques (rayonnements ionisants, rayons optiques artificiels, UV, hyperbarie, bruit, vibrations mécaniques et champs électromagnétiques) ainsi que dans le domaine de la reconnaissance des maladies professionnelles et des politiques de réparation des risques professionnels. Il assure les fonctions de coordination pour la sous-direction CT des relations avec le Comité français d’accréditation et de certification (COFRAC).

Date limite de candidature : 2 mai 2025