Chargé.e de mission valorisation des données et ORGP H/F
Le chargé de mission valorisation des données et ORGP assure la coordination des demandes de données et la production d'expertises scientifiques relatives à la pêche maritime. Il contribue à l'amélioration de la production, à la valorisation et à la diffusion de ces données afin de renforcer les relations et promouvoir un travail étroit entre les nombreux partenaires du SPMAD. Il développe une expertise concernant le cadre réglementaire de diffusion et d'accès à la donnée d'activité de pêche à un tiers.
Les principales missions de ce poste sont :
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Appui scientifique auprès des autres bureaux du SPMAD, en particulier du bureau des affaires européennes et internationales (BAEI) pour les négociations internationales (ORGP), et pour la mise en oeuvre des politiques de la DGAMPA pour la filière pêche ;
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Coordination de la production de statistiques relatives aux pêches maritimes avec les différents partenaires scientifiques de la DGAMPA (ex. IFREMER, IRD, MNHN, SSP du MAA, LEMNA, FranceAgriMer) ;
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Mise en oeuvre de la politique de diffusion des données d'activités de pêche et leur protection aux différents acteurs tels que les services de l'Etat, les ONG ou les organisations professionnelles de la pêche : expertise règlementaire sur la diffusion des données et coordination de développements d'outils liés à cette diffusion ;
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Responsable de la transmission des données aux Organisations Régionales de gestion des pêches -ORGP (ICCAT, CTOI et CGPM) et au CIEM. Le chargé de mission coordonne les partenaires scientifiques pour préparer et transmettre les données selon un calendrier annuel strict ;
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Participation aux travaux scientifiques de ces organisations. Appui technique et scientifique concernant les problématiques des ORGP;
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Réponse aux demandes de données : pilotage d'outils de diffusion, coordination et suivi des réponses aux demandes de données ;
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Appui au pôle environnement du BASD pour l'analyse des données sur le plan d'action cétacé et les autres politiques environnementales ;
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Maitrise d'ouvrage et développement d'outils informatiques en lien avec les données d'activité de pêche et les autres bureaux du SPMAD dont application de type shiny pour faciliter les négociations TAC & Quota, maitrise d'ouvrage de VALID, appui à l'observatoire de l'économie des pêches ;
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Création et maintien en condition opérationnelle de base de données d'activité de pêche partagées en lien avec les partenaires scientifiques et le BSIPA.
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Interim des autres chargés de mission du pôle expertise données.
Liaison hiérarchique :
Administration centrale : autres services de la DGAMPA, SSP, DEB
Etablissements publics partenaires : Ifremer, IRD, FranceAgriMer, OFB, MNHN, INRAE, LEMNA
Commission européenne, organisations internationales : ICCAT, CTOI et CGPM, CIEM
La direction générale des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture (DGAMPA) est une administration centrale tournée vers le développement durable des activités maritimes et littorales. Elle soutient et anime une administration maritime de 2 950 agents, en administration centrale et dans les services déconcentrés, répartis sur toutes les façades maritimes françaises, tant dans l’Hexagone que dans les outre-mer. Au service de l’ensemble de la communauté maritime, la DGAMPA élabore et coordonne la mise en œuvre de la stratégie nationale de la mer et du littoral, réaffirmant la place de la mer au sein des politiques publiques. Grâce à la planification maritime, elle organise le partage de l’espace maritime en conciliant des usages de plus en plus variés (des énergies marines renouvelables aux câbles sous-marins en passant par le transport maritime, la pêche ou encore le nautisme), tout en veillant à une meilleure protection de nos écosystèmes marins. Présente sur tous les océans du monde, la France bénéficie d’un ensemble d’écosystèmes marins et littoraux particulièrement riche et diversifié. L’espace maritime français s’étend sur plus de 10 millions de km² - plus de 20 fois la surface de la métropole - dont 97 % se situent outre-mer. La France abrite également la quatrième plus grande surface de récifs coralliens au monde. Particulièrement dynamique, l’économie bleue représente quant à elle près de 700 000 emplois directs et indirects et rassemble des secteurs économiques variés tels que les transports et services maritimes, la croisière, la pêche, la conchyliculture, la plaisance, les loisirs nautiques et le tourisme littoral, les services off-shore, l’industrie navale et nautique ou les ports. Elle inclut aussi de nombreux secteurs émergents tels que les biotechnologies bleues et les énergies marines renouvelables.
- Helene.renault@agriculture.gouv.fr
- Pierre.calvy@agriculture.gouv.fr